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Sur mon galet

Dehors il y a beaucoup
De beau de joli
Des tas de chemins
A prendre de partout vers tous les pays

Les yeux brillent
Le cœur s’enflamme
L’esprit s’habillerait
Presque en costard

Il fallait voir
Comme j’étais fier comme un paille-en-queue
Oh oui il fallait voir
Jusqu’à ce que je fasse un rêve sur mon galet

Sur mon galet
Je me lève je chante je dors
Je vis je plante je meurs
Il y en a pour le cœur l’esprit le corps
Mes rêves n’ont pas de limite

Se prendre des coups
Le cœur qui saigne
Mais je sais ma valeur

Là si on n’est pas costaud on capitule
Il n’y a pas de place pour les coqs ou poules qui pleurnichent
Il faut se battre

Il fallait voir
Comme j’étais devenu quelqu’un de très capable
Oh oui il fallait voir
Mais j’avais fait mon temps
Etait venue l’heure pour moi de revenir

Sur mon galet pour
Me lever chanter dormir
Vivre planter mourir…

Combien d’enfants avons-nous ainsi
Dans des pays au-dehors ils partent
Se saisir d’un avenir tenter leur chance
Faire leurs preuves malgré la souffrance
Et qu’importe les diplômes et les compétences
Il semble que ceux d’en dehors ici passent avant
Quand permettra t-on à la richesse
De ce pays de chanter ses promesses

Pour montrer
Tous les jolis grains qu’il a su trouver
Oh mais oui mais oui pour lui montrer
Comme son courage fait notre fierté notre force
Lui aussi veut chanter

Sur mon galet…

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